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                         Ni l’un ni l’autre camp n’ayant remporté une victoire décisive, le traité de paix fut signé à Gand en décembre 1814, rétablissant ainsi le statu quo. La lenteur des communications de l’époque explique que l’affrontement tragique de la Nouvelle-Orléans ait eu lieu, même si la guerre était finie. La perspective haut-canadienne sur la guerre et sa conclusion est bien exprimée dans une lettre qu’adressait George Ridout à Abraham Nelles. |  
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| Un observateur américain, Nathan Ford, déplorait que les États-Unis n’aient pas réussi à se doter d’un avantage militaire net au cours des quelques mois précédant la fin des hostilités. 
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